Papillote de lapin à la citronnelle et aux petits légumes primeurs, sauce coco – curry

Proportions pour 2 Personnes Temps de Préparation 25 Minutes
 Temps de Cuisson 45 Minutes

 

► 2 cuisses de lapin

Légumes
► 3 petites carottes nouvelles
► 3 petits navets rouges nouveaux ou 5 radis ronds et rouges
► ¼ oignon rouge
► 1/2 mangue
► 160 g de pois gourmands

► 200 g de pâtes de riz cuites
► 1 bâton de citronnelle
► 20 cl de lait de coco
► 1 cuil. à café de pâte de curry (douce) à défaut 1 cuil. à café de curry en poudre
► 2 cuil. à soupe de cacahuètes grillées légèrement concassées
► 2 cives ou 5 brins de ciboulette
► sel

①• Émincer finement le bâton de citronnelle. Mélanger le lait coco, la pâte de curry, la citronnelle et saler légèrement.

②• Éplucher les carottes et les couper en 2 ou en 4 selon leur taille. Couper les navets ou les radis en 2. Peler et émincer l’oignon rouge. Éplucher la mangue et la détailler en lamelles.

③• Préchauffer le four à 180°C (th.6).

④• Saler les cuisses de lapin. Préparer 2 grandes feuilles de papier sulfurisé. Y déposer les carottes, les navets ou radis, les pois gourmands, l’oignon rouge et les cuisses de lapin. Arroser de sauce au curry et saupoudrer de cacahuètes. Fermer les papillotes et enfourner sur une plaque pour 45 à 50 min.

Servir avec des pâtes de riz et des cives ou des tiges de ciboulette émincées.

Suggestion : Dans une sauteuse, faire colorer les cuisses de lapin à l’huile d’arachide sur les 2 faces avant de les mettre dans la papillote. Réduire alors le temps de cuisson au four à 40 min.

Le lapin, il sait tenir les bonnes résolutions !

En panne de bonnes idées pour attaquer l’année en beauté ? Tiens, tiens, et si on se mettait au lapin ?

Résolution n°1 : Oui je peux garder la ligne…
Comme le poulet ou la dinde, le lapin est une viande peu grasse qui affiche seulement, selon les morceaux, de 4 à 10% de lipides et 120 à 160 calories pour 100 g. En plus, sa chair blanche et ferme est riche en protéines de grande qualité (20 à 21 g/100 g) qui lui confèrent un fort pouvoir rassasiant.

Résolution n°2 : Et manger de la viande sans culpabiliser
En plus son profil lipidique est intéressant pour l’organisme. Sa teneur en acides gras saturés est plus faible que celle des autres viandes, alors que sa teneur en acides gras insaturés (les bons acides gras), en particulier en acide α-linolénique, précurseur des oméga-3, s’avère plus élevée que celle des autres viandes. Alliée de la forme et de la jeunesse, la viande de lapin affiche aussi des teneurs remarquables en vitamines E, B (notamment B3 et B12) et en sélénium. Que du sain, en somme.

Résolution n°3 : j’arrête de me prendre la tête
Avec les morceaux de lapins prédécoupés, fini la prise de tête ! On choisit son morceau (râble, filet, cuisse, gigolette…) et on réalise en un tournemain un plat simple et savoureux. Avec toutes les préparations et les modes de cuisson (papillote, barbecue, cocotte, four…) possibles, on fait selon ses envies, ses capacités culinaires et le temps dont on dispose.

Résolution n°4 : je soutiens une filière responsable
Avec sa démarche de progrès « Le lapin s’engage », la filière cunicole française travaille en permanence à l’amélioration des conditions d’élevage, du bien-être animal, à la diminution de la médication et. Objectif : proposer une viande de très grande qualité. Voilà qui mérite notre plébiscite.

Résolution 5 : je cuisine un produit nouveau et j’épate mes amis
Terminé les recettes de grand-mère, avec le lapin j’innove et je surprends car, il a plus d’une recette dans son chapeau ! Version exotique en curry avec des épices, des fruits séchés, de la mangue ou du lait de coco, version light, grillé, au wok ou en papillote, en pierrade ou en brochettes, , et même version trendy en bouchées apéritives, nuggets ou profiteroles. Ce n’est pas compliqué, tout lui va !

UNE FILIÈRE RESPONSABLE ENGAGÉE  DANS UNE DÉMARCHE ACTIVE DE PROGRÈS.
Performance des élevages, santé et bien-être des animaux sont les objectifs clairement visés par la filière cunicole française avec la démarche de progrès « Le Lapin s’engage ». La filière travaille sur l’évolution des pratiques en élevage, la démédication, la nutrition, la qualité et la sécurité alimentaire. Avec cette démarche de progrès, c’est toute une filière qui s’engage pour proposer aux consommateurs une viande française de très grande qualité

À propos du CLIPP (Comité Lapin Interprofessionnel pour la Promotion des Produits)
1989-1998 : une démarche volontaire
Le CLIPP a été créé en 1989, sous forme d’association, par des membres de la filière soucieux de la qualité de leur produit et souhaitant s’engager dans une action commune pour la promotion de la cuniculture et de la marque générique " Lapin de France ".
Le CLIPP aujourd’hui, une interprofession
Conscientes de la nécessité croissante de promouvoir le produit, les organisations professionnelles de la filière ont souhaité renforcer leur action et se doter de plus amples moyens financiers. Dans cette optique, le 25 novembre 1998, le CLIPP a procédé, au cours d’une assemblée générale extraordinaire, à la modification de ses statuts pour répondre aux exigences législatives des interprofessions. Le CLIPP a été reconnu comme interprofession par les pouvoirs publics, par l’arrêté du 28 septembre 1999.

Le CLIPP est composé de 4 collèges, représentant les différents acteurs intervenant dans la production :
►  les sélectionneurs et les fournisseurs d’équipement : SYSELAF (Syndicat des Sélectionneurs de Lapins Français) et ANFEC (Association Nationale des Fournisseurs d’Equipements Cunicoles)
►  les producteurs : FENALAP (Fédération Nationale des groupements de producteurs de Lapins), CFA (Confédération Française de l’Aviculture) et Confédération Paysanne
►  les fabricants d’aliments : SNIA (Syndicat National des Industriels de la Nutrition Animale) et COOP de France Nutrition Animale.
►  les abatteurs et transformateurs : FIA (Fédération des Industries Avicoles) et CNADEV (Comité National des Abattoirs et ateliers de découpe de volailles-lapins et chevreaux).

Ses missions sont :
►  d’une part, trouver des solutions afin de faire face aux difficultés rencontrées dans un contexte économique et sanitaire fragile.
►  poursuivre, d’autre part, les actions de fond engagées les années précédentes pour défendre et valoriser la production et la filière, notamment :

• informer le consommateur
• réaliser des actions de promotion des produits
• contribuer à l’amélioration constante de la production de la filière et du produit
• suivre et améliorer l’organisation du marché

© Lapin de France | Crédits Photos : © CLIPP- S’CUIZ IN | Tous droits de reproduction réservés

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