Petite salade de noisette d’agneau

© L'agneau. L'essayer, c'est l'adorer
Crédit Photo : © Philippe Vaurès Santamaria | Recette : © Caroline Wietzel

Proportions pour 2 Personnes Temps de Préparation 20 Minutes
Temps de Cuisson 25 Minutes

 

Vous avez envie de déguster une viande d’agneau tendre et gourmande ?
Cette petite salade de noisette d’agneau est Idéale pour une pause-déjeuner ou un dîner loin du quotidien !

► 1 à 2 noisettes d’agneau
► 100 g de salades mélangées
► 1 oignon rouge
► 180 g de quinoa
► 60 cl de bouillon de légumes
► 250 g brousse de brebis
► 1 cuil. à soupe de miel d’acacia
► 1 cuil. à soupe de pignons de pin
► 6 radis roses
► 1 poignée de cresson
► 1 poignée de graines germées  
► 1 cuil. à café rase de graines de sésame
► 1 cuil. à café d’huile de sésame
► 1 cuil. à soupe d’huile de pépins de raisin
► 1 cuil. à soupe de vinaigre balsamique blanc
► Sel
► Poivre

①• Cuire le quinoa dans une casserole d’eau bouillante aromatisée avec un bouillon de légumes et réserver.

②• Éplucher l’oignon et l’émincer finement. Laver, équeuter et passer les radis à la mandoline. Laver et essorer la salade. Griller à sec les pignons de pin dans une poêle bien chaude.

③• Dresser le quinoa au fond d’un bol ou d’une assiette creuse. Répartir la salade, les graines germés, le cresson, l’oignon émincé et les lamelles de radis. Déposer une grosse cuil. à soupe de brousse, la mouiller avec du miel et saupoudrer de graines de sésame et de pignons de pin. Arroser l’ensemble du bol ou de l’assiette avec une vinaigrette composée des deux huiles et du vinaigre. Saler légèrement, poivrer.

④• Saisir la noisette d’agneau dans une poêle bien chaude et légèrement graissée pendant 3 à 5 mn de chaque côté en la retournant régulièrement. Trancher finement la viande et la déposer sur la salade.

Servir sans attendre.

L’astuce du chef : Faire légèrement caraméliser l’agneau avec du miel

 

ÉLEVAGE OVIN EN EUROPE ET TERRITOIRES

L’élevage ovin en Europe est en interaction directe avec son environnement : valorisation des territoires, participation au maintien de la biodiversité, maintien du tissu économique…
De véritables atouts naturels qui font des filières ovines une réponse adaptée aux enjeux de développement durable.

L’ÉLEVAGE OVIN : UNE RÉPONSE À LA VALORISATION DES TERRITOIRES.
L’élevage ovin, majoritairement basé sur un élevage à l’herbe dans des exploitations à taille humaine, occupe principalement des terres difficilement exploitables par d’autres activités humaines.
Il participe ainsi à la valorisation et au développement agronomique de ces territoires.

L’ÉLEVAGE OVIN, L’ENVIRONNEMENT ET LA BIODIVERSITÉ : UN PACTE GAGNANT – GAGNANT.
Dans les zones montagneuses, la production ovine contribue de manière significative à lentretien des paysages (débroussaillage…), on parlerait alors presque de « moutons jardiniers » ! Sans l’élevage, cet environnement se dégraderait.
En plaines, les zones herbagères ainsi entretenues concourent à la préservation de la qualité de l’eau en filtrant, tout en limitant l’érosion des sols. Elles permettent également de lutter contre le réchauffement climatique en stockant le carbone.
De ces espaces jamais labourés naît un écosystème qui participe à la préservation de la biodiversité animale, végétale et microbienne.

Parmi les bénéfices mesurables, on peut relever par exemple que :
•  l’exploitation de ces zones, qui conservent un milieu stable dans le temps, assure le maintien des espèces sensibles aux changements de pratiques.
•  les éléments agro-écologiques conservés tels que les bordures de parcelles, haies…sont des réservoirs naturels essentiels pour les plantes et insectes sensibles.
•  la diversité des espèces végétales (fleurs,herbes) est préservée.

L’ÉLEVAGE OVIN, C’EST AUSSI UNE SOURCE D’EMPLOIS ET DE VIE SOCIALE FORTE.
En valorisant des territoires dans des régions défavorisées, c’est toute une économie, une culture, des paysages et des traditions gastronomiques qui s’imposent naturellement et participent à l’attrait touristique de ces zones.
Sans oublier l’ensemble des emplois induits par ces filières : 1 emploi en élevage engendre 7 emplois dans le reste de la filière.

QUI SOMMES-NOUS ?

INTERBEV OVINS
Est l’interprofession (créée en 1985) représentant les différents acteurs du secteur économique de la filière ovine française, de l’élevage à la distribution.
Son rôle : défendre et valoriser les intérêts communs des divers métiers de cette filière.
207, rue de Bercy
75012 Paris

www.interbev.fr

AHDB
Est l’interprofession de la filière bétail et viande d’Angleterre.
AHDB est chargée du développement et de la valorisation des filières ovine et bovine anglaises et dispose d’un bureau en France.
13 bis, rue Paul Séramy
77300 Fontainebleau

www.ilovemeat.fr

BORD BIA
Est l’office de développement et de promotion des produits agroalimentaires, des boissons et de l’horticulture irlandais.
Son rôle : assurer le succès pérenne de cette industrie à travers son réseau international de bureaux.
33, rue de Miromesnil
75008 Paris

www.origingreen.ie/fr



www.jadorelagneau.fr


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Crédits Photos : © Philippe Vaurès Santamaria
Recette : © Caroline Wietzel | Tous droits de reproduction réservé

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