Roulé d’agneau au Morbier AOP, chapelure d’herbes

Roulé d’agneau Morbier AOP, chapelure d’herbes
Crédit Photo : © Morbier® AOP par Divino Conseils

Morbier - Un trait inimitable

Proportions pour 4 Personnes Temps de Préparation 20 Minutes
Réfrigération 2 Heures Temps de Cuisson 30 Minutes

 

Avec le Morbier AOP, il est facile de se régaler autour d’un repas savoureux et gourmand à partager en famille ou entre amis.

► 2 bottes de persil
► 1 selle d’agneau
► 4 tranches de jambon
► 500 g de Morbier AOP

Pour la panure
► 1 assiette de chapelure panco
► 1 assiette de farine

①• La veille, mettre le persil toute la nuit au four à 50°C.

②• Le jour même, mixer le persil après l’avoir effeuillé pour obtenir une poudre verte.

③• Ajouter la poudre de persil à la chapelure et remixer le tout pour obtenir une chapelure fine et verte.

④• Battre la selle d’agneau entre deux feuilles de papier sulfurisé jusqu’à obtenir une escalope de 0,5cm d’épaisseur.

⑤• Tailler des tranches de morbier de 2mm d’épaisseur. Pour monter le roulé d’agneau : mettre sur a tranche d’agneau une tranche de jambon et plusieurs tranches de Morbier.

⑥• Rouler la préparation et ficeler pour que le boudin se tienne à la cuisson. Colorer les boudins à la poêle bien chaude. Réserver au frais 2h.

⑦• Préchauffer le four à 180°C.

⑧• Paner les boudins à l’anglaise. (Farine, œuf battu, chapelure verte).

⑨• Dans une poêle, déposer une noisette de beurre puis colorer les boudins de cordons bleus sur chaque face. Les déposer sur une grille et les passer au four pendant 20 min.

À la sortie du four, tailler des tranches de 1cm d’épaisseur et déguster.

Morbier - Un trait inimitable

Le Morbier, un fromage trait, très … unique !

De tout temps, les fromages et le Morbier en particulier, ont eu leur mot à dire en cuisine. De l’apéritif au dessert, en passant par le plat principal, il a su se faire une place et apporter ses parfums et sa texture. Parallèlement, sur un plateau, LE MORBIER apprécie la présence d’une pâte de coings, d’un chutney de tomates séchées, d’un miel, d’une poignée de raisins secs ou d’une gelée au vin jaune, proximité géographique oblige. Seulement, si le Morbier se glisse aisément dans des cakes, des omelettes, des gratins, des terrines, des quiches et des soufflés, il peut surprendre et détoner dans des accords épatants, notamment avec du canard effiloché niché dans un ravioli et servi avec une sauce au Porto. Veau, agneau et bœuf sont également de savoureux compères pour le Morbier.

Morbier AOP

Osez les brochettes, en alternant un morceau de viande, une tomate cerise, un morceau de Morbier, le tout mariné dans un mélange d’huile d’olive, de miel liquide, de thym et d’estragon. Mais incontestablement, la palme du sucré-salé revient aux fruits et légumes, qui l’escortent judicieusement. Parmi eux, la figue, la poire ou la pomme ont déjà fait leurs preuves. On peut donc, pour varier les plaisirs, se tourner vers des poivrons poêlés avec une touche de vinaigre balsamique et les servir avec des dés de Morbier dans des wraps. Quant aux carottes, mêlées avec des quartiers d’orange et du Morbier, l’accord mêle le sucré et le salé à l’acidulé. Au final, tous les accords sont à peu près probants mais la meilleure façon de créer le mariage parfait, c’est la sauce. Préparée avec un vinaigre de framboises, de cassis, d’abricots ou de tomates, elle sera le lien idéal entre deux ingrédients, du Morbier et une viande ou du Morbier et un légume.

…Inimitable !

• Croûte naturelle, lisse, d’un aspect régulier beige à orangé avec des nuances rose orangé
• Pâte souple et onctueuse, de couleur ivoire à jaune pâle avec ouverture discrète
• Raie noire bien soudée et continue sur toute la tranche
• Parfum franc et fruité, persistant
• Goût crémeux, fruité et subtil, saveurs de crème de vanille et de fruits

…légendaire !

Le Morbier est né au 18ème siècle, au cœur de la Franche-Comté, dans le village du même nom. Le « petit frère du Comté » était fabriqué en hiver lorsque la production de lait ne suffisait pas pour fabriquer les meules de Comté. Les fermiers ne pouvant livrer le lait chaque jour à la fruitière du village, ils eurent alors l’idée ingénieuse de fabriquer un fromage plus petit en additionnant le lait de la traite du matin à celui de la traite du soir. Ils faisaient cailler le lait du soir, le mettaient en moule, pour ensuite le recouvrir de cendre prise « au cul du chaudron », dans le but de le protéger. Le matin, ils recouvraient avec le lait caillé de la deuxième traite. C’est ainsi que le Morbier, avec sa ligne cendrée, est entré dans l’histoire des fromages de caractère !


Morbier - Un trait inimitable
Un trait de caractère du massif jurassien
www.fromage-morbier.com


© Syndicat Interprofessionnel du Morbier® | Crédits Photos : © Morbier® AOP par Divino Conseils
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