Boulettes d’épaule d’agneau yakitori et riz sauté
Proportions pour 4 Personnes Temps de Préparation 30 Minutes
Repos 1 Heure Temps de Cuisson 30 Minutes
Tombez sous le charme de la viande d’agneau avec des recettes originales. Alors on brandit avec fierté son bento d’un repas facile à emporter haut en couleurs, plein d’équilibre et de saveurs !
► 600 g d’épaule d’agneau hachée
► 1 œuf
► 1 citron vert
► 600 g de riz basmati cuit
► 4 tiges de cive
► ½ chou rouge
► 1 petit bouquet de coriandre
► 4 cuil. à soupe d’huile de sésame
► 1 cuil. à soupe de sauce soja salée
► 1 cuil. à soupe de Maïzena
► ½ cuil. à café de gingembre en poudre
► 100 ml de sauce yakitori
► 1 cuil. à soupe de graines de sésame noir
► 150 ml de vinaigre de riz
► 100 g de sucre en poudre
► Sel et poivre du moulin
①• Dans une casserole, faire bouillir le vinaigre de riz et le sucre puis ajouter le chou préalablement émincé. Saler et poivrer. À la reprise du bouillon, faire cuire 15 minutes.
Déposer le tout dans un bocal hermétique et conserver au frais au moins une heure.
②• Ciseler finement 2 tiges de cives dans un saladier. Ajouter l’agneau haché, l’œuf entier, la sauce soja, la Maïzena, la poudre de gingembre, du sel et du poivre. Mélanger bien le tout et réaliser 24 boulettes de taille identique. Les piquer 3 par 3 sur des bâtonnets en bois préalablement humidifiés.
③• Chauffer une cuillère à soupe d’huile de sésame dans une poêle puis saisir les brochettes jusqu’à ce qu’elles commencent à se colorer. Ajouter ensuite la sauce yakitori et cuire pendant 10 minutes tout en arrosant régulièrement la viande. Chauffer l’huile de sésame dans un wok et faire sauter le riz pendant 5 minutes à feu très vif.
④• Servir le riz avec les brochettes, les pickles de chou rouge et du citron vert.
Parsemer le tout de sésame noir et de coriandre fraiche.
Astuce : pour encore plus de goût, préparer le chou rouge la veille et laisser le mariner toute une nuit.
ÉLEVAGE OVIN EN EUROPE ET TERRITOIRES
L’élevage ovin en Europe est en interaction directe avec son environnement : valorisation des territoires, participation au maintien de la biodiversité, maintien du tissu économique… De véritables atouts naturels qui font des filières ovines une réponse adaptée aux enjeux de développement durable.
L’ÉLEVAGE OVIN : UNE RÉPONSE À LA VALORISATION DES TERRITOIRES.
L’élevage ovin, majoritairement basé sur un élevage à l’herbe dans des exploitations à taille humaine, occupe principalement des terres difficilement exploitables par d’autres activités humaines.
Il participe ainsi à la valorisation et au développement agronomique de ces territoires.
L’ÉLEVAGE OVIN, L’ENVIRONNEMENT ET LA BIODIVERSITÉ : UN PACTE GAGNANT – GAGNANT.
Dans les zones montagneuses, la production ovine contribue de manière significative à l’entretien des paysages (débroussaillage…), on parlerait alors presque de « moutons jardiniers » ! Sans l’élevage, cet environnement se dégraderait.
En plaines, les zones herbagères ainsi entretenues concourent à la préservation de la qualité de l’eau en filtrant, tout en limitant l’érosion des sols. Elles permettent également de lutter contre le réchauffement climatique en stockant le carbone.
De ces espaces jamais labourés naît un écosystème qui participe à la préservation de la biodiversité animale, végétale et microbienne.
Parmi les bénéfices mesurables, on peut relever par exemple que :
• l’exploitation de ces zones, qui conservent un milieu stable dans le temps, assure le maintien des espèces sensibles aux changements de pratiques.
• les éléments agro-écologiques conservés tels que les bordures de parcelles, haies…sont des réservoirs naturels essentiels pour les plantes et insectes sensibles.
• la diversité des espèces végétales (fleurs,herbes) est préservée.
L’ÉLEVAGE OVIN, C’EST AUSSI UNE SOURCE D’EMPLOIS ET DE VIE SOCIALE FORTE.
En valorisant des territoires dans des régions défavorisées, c’est toute une économie, une culture, des paysages et des traditions gastronomiques qui s’imposent naturellement et participent à l’attrait touristique de ces zones.
Sans oublier l’ensemble des emplois induits par ces filières : 1 emploi en élevage engendre 7 emplois dans le reste de la filière.
QUI SOMMES-NOUS ?
INTERBEV OVINS
Est l’interprofession (créée en 1985) représentant les différents acteurs du secteur économique de la filière ovine française, de l’élevage à la distribution.
Son rôle : défendre et valoriser les intérêts communs des divers métiers de cette filière.
207, rue de Bercy – 75012 Paris
www.interbev.fr
AHDB
Est l’interprofession de la filière bétail et viande d’Angleterre.
AHDB est chargée du développement et de la valorisation des filières ovine et bovine anglaises et dispose d’un bureau en France.
13 bis, rue Paul Séramy – 77300 Fontainebleau
www.ilovemeat.fr
BORD BIA
Est l’office de développement et de promotion des produits agroalimentaires, des boissons et de l’horticulture irlandais.
Son rôle : assurer le succès pérenne de cette industrie à travers son réseau international de bureaux.
33, rue de Miromesnil – 75008 Paris
www.origingreen.ie/fr
À propos de la campagne en faveur de la viande d’agneau européenne de 2018-2021.
Les filières ovines française, anglaise et irlandaise déploient dans 4 pays européens (France, Angleterre, Irlande et Allemagne) la campagne de communication « L’Agneau L’essayer c’est l’adorer ! (« Lamb, Try it, love it » dans les pays anglo-saxons et « Lamm, das musst probieren » en Allemagne) destinée à séduire les Millenials et leur faire déguster la viande d’agneau autrement. Trop souvent réservée aux repas de fêtes, la viande d’agneau se cuisine pourtant facilement au quotidien : rapide à préparer, elle se prête à toutes les audaces culinaires.
© L'agneau. L'essayer, c'est l'adorer | Crédit Photo : © Juliette Lalbatry/Delphine Constantini
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