Carré d’agneau rôti au vin rouge et aux cranberries, purée de panais

© L'agneau. L'essayer, c'est l'adorer | Crédit Photo : © Juliette Lalbatry / Delphine Constantini

Proportions pour 4 Personnes Temps de Préparation 40 Minutes
 Temps de Cuisson 35 Minutes

 

Au mois de décembre, la tendance est de se retrouver entre amis pour fêter Noël autour d’un concept original adopté depuis quelques années : le Secret Santa.
C’est l’occasion de se rassembler et de passer une soirée pleine de rebondissements autour d’un bon repas !

Avec l’agneau, pas de mystère, le repas sera un vrai succès !

► 1 carré de 8 côtes d’agneau
► 70 g de beurre
► 4 échalotes
► 1 cuil. à soupe de miel
► 400 ml de vin rouge
► 200 g de cranberries
► 4 tiges de romain frais
► 1 kg de panais
► 1 feuille de laurier
► 1 oignon
► 200 ml de lait
► 1 cuil. à soupe de baies roses
► 150 ml de vinaigre de riz
► 100 g de sucre en poudre
► Sel et poivre du moulin

①• Préchauffer le four à 220°C (Th.7-8). Déposer 20 g de beurre dans une poêle et colorer le carré d’agneau, à feu vif, pendant 3 minutes.

②• Déposer ensuite dans un plat le carré, badigeonner de miel, saler et poivrer. Ajouter au plat 30 g de beurre en morceaux, les tiges de romarin, le vin, les cranberries et les échalotes coupées en 2. Enfourner pour 25 minutes de cuisson.

③• Éplucher et couper en morceaux les panais et l’oignon. Faire cuire le tout avec la feuille de laurier pendant 30 minutes dans une grande casserole d’eau salée.

④• Récupérer et enrouler la viande pendant 10 minutes dans du papier aluminium. Verser la sauce du plat dans une casserole et prolonger la cuisson de 5 minutes.

⑤• Égoutter et écraser les panais et l’oignon au presse-purée avec 30 g de beurre et le lait. Saler, poivrer et servir avec le carré d’agneau et la sauce aux cranberries.

Parsemer de baies roses au moment de servir.

ÉLEVAGE OVIN EN EUROPE ET TERRITOIRES

L’élevage ovin en Europe est en interaction directe avec son environnement : valorisation des territoires, participation au maintien de la biodiversité, maintien du tissu économique… De véritables atouts naturels qui font des filières ovines une réponse adaptée aux enjeux de développement durable.

L’ÉLEVAGE OVIN : UNE RÉPONSE À LA VALORISATION DES TERRITOIRES.
L’élevage ovin, majoritairement basé sur un élevage à l’herbe dans des exploitations à taille humaine, occupe principalement des terres difficilement exploitables par d’autres activités humaines.
Il participe ainsi à la valorisation et au développement agronomique de ces territoires.

L’ÉLEVAGE OVIN, L’ENVIRONNEMENT ET LA BIODIVERSITÉ : UN PACTE GAGNANT – GAGNANT.
Dans les zones montagneuses, la production ovine contribue de manière significative à lentretien des paysages (débroussaillage…), on parlerait alors presque de « moutons jardiniers » ! Sans l’élevage, cet environnement se dégraderait.
En plaines, les zones herbagères ainsi entretenues concourent à la préservation de la qualité de l’eau en filtrant, tout en limitant l’érosion des sols. Elles permettent également de lutter contre le réchauffement climatique en stockant le carbone.
De ces espaces jamais labourés naît un écosystème qui participe à la préservation de la biodiversité animale, végétale et microbienne.

Parmi les bénéfices mesurables, on peut relever par exemple que :
•  l’exploitation de ces zones, qui conservent un milieu stable dans le temps, assure le maintien des espèces sensibles aux changements de pratiques.
•  les éléments agro-écologiques conservés tels que les bordures de parcelles, haies…sont des réservoirs naturels essentiels pour les plantes et insectes sensibles.
•  la diversité des espèces végétales (fleurs,herbes) est préservée.

L’ÉLEVAGE OVIN, C’EST AUSSI UNE SOURCE D’EMPLOIS ET DE VIE SOCIALE FORTE.
En valorisant des territoires dans des régions défavorisées, c’est toute une économie, une culture, des paysages et des traditions gastronomiques qui s’imposent naturellement et participent à l’attrait touristique de ces zones.
Sans oublier l’ensemble des emplois induits par ces filières : 1 emploi en élevage engendre 7 emplois dans le reste de la filière.

QUI SOMMES-NOUS ?

INTERBEV OVINS
Est l’interprofession (créée en 1985) représentant les différents acteurs du secteur économique de la filière ovine française, de l’élevage à la distribution.
Son rôle : défendre et valoriser les intérêts communs des divers métiers de cette filière.
207, rue de Bercy – 75012 Paris

www.interbev.fr

AHDB
Est l’interprofession de la filière bétail et viande d’Angleterre.
AHDB est chargée du développement et de la valorisation des filières ovine et bovine anglaises et dispose d’un bureau en France.
13 bis, rue Paul Séramy – 77300 Fontainebleau

www.ilovemeat.fr

BORD BIA
Est l’office de développement et de promotion des produits agroalimentaires, des boissons et de l’horticulture irlandais.
Son rôle : assurer le succès pérenne de cette industrie à travers son réseau international de bureaux.
33, rue de Miromesnil – 75008 Paris

www.origingreen.ie/fr

À propos de la campagne en faveur de la viande d’agneau européenne de 2018-2021.
Les filières ovines française, anglaise et irlandaise déploient dans 4 pays européens (France, Angleterre, Irlande et Allemagne) la campagne de communication « L’Agneau L’essayer c’est l’adorer ! (« Lamb, Try it, love it » dans les pays anglo-saxons et « Lamm, das musst probieren » en Allemagne) destinée à séduire les Millenials et leur faire déguster la viande d’agneau autrement. Trop souvent réservée aux repas de fêtes, la viande d’agneau se cuisine pourtant facilement au quotidien : rapide à préparer, elle se prête à toutes les audaces culinaires.



www.jadorelagneau.fr


© L'agneau. L'essayer, c'est l'adorer | Crédit Photo : © Juliette Lalbatry/Delphine Constantini
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