Baos au Morbier AOP

Baos au Morbier AOP
Crédit Photo : © Morbier® AOP par Divino Conseils

Morbier - Un trait inimitable

Proportions pour 4 Personnes Temps de Préparation 2 Heures
Repos 1 h 30 Minutes Temps de Cuisson 10 Minutes

 

Quand les envies de gourmandise prennent le dessus, vous allez adorer déguster et partager ces Baos à la pause déjeuner, ou même sur le pouce.

► 100 g de Morbier AOP
► 1 carotte
► 1 branche de cébette
► 1 saucisse de Montbeliard
► Sauce tomate
► Huile d’olive
► Sauce soja

Pour la pâte à Bao
► 1 sachet de levure de boulanger sèche
► 250 g de farine
► 1 cuil. à soupe de sucre
► 2 cuil. à soupe de lait
► 110 ml d’eau tiède
► 15 g de beurre pommade
► 2 pincées de sel

①• Réaliser la pâte à Bao
Dans un saladier, mélanger la farine, le sucre, la levure et le sel. Faire fondre le beurre. Faire un puit au centre et verser l’eau tiède et le beurre fondu. Pétrir 5 à 10 min au batteur à l’aide d’un crochet puis laisser la pâte lever 1h30 sous un torchon à température ambiante. Dégazer la pâte en la pétrissant légèrement à la main puis la diviser en 10 parts de forme ovale d’environ 40g. Les badigeonner d’huile d’olive et les plier en 2.

②• Pour la cuisson
Faire frémir de l’eau dans une casserole, déposer le panier vapeur dessus et laisser cuire 10 min. Pendant la cuisson préparer la garniture : couper le Morbier en petits dés, faire des pluches de carotte à l’épluche légume, trancher la cébette en fines rondelles. Faire cuire la saucisse de Montbéliard, puis la découper en petits dés.

③• Passer au montage
Garnir les baos d’une petite cuillère de sauce tomate, y ajouter les dés de saucisse, les peluches de carotte, quelques rondelles de cébette et finir par quelques dés de Morbier.

Plus qu’à déguster, attention c’est très TRAIT gourmand !

Morbier - Un trait inimitable

Le Morbier, un fromage trait, très … unique !

De tout temps, les fromages et le Morbier en particulier, ont eu leur mot à dire en cuisine. De l’apéritif au dessert, en passant par le plat principal, il a su se faire une place et apporter ses parfums et sa texture. Parallèlement, sur un plateau, LE MORBIER apprécie la présence d’une pâte de coings, d’un chutney de tomates séchées, d’un miel, d’une poignée de raisins secs ou d’une gelée au vin jaune, proximité géographique oblige. Seulement, si le Morbier se glisse aisément dans des cakes, des omelettes, des gratins, des terrines, des quiches et des soufflés, il peut surprendre et détoner dans des accords épatants, notamment avec du canard effiloché niché dans un ravioli et servi avec une sauce au Porto. Veau, agneau et bœuf sont également de savoureux compères pour le Morbier.

Morbier AOP

Osez les brochettes, en alternant un morceau de viande, une tomate cerise, un morceau de Morbier, le tout mariné dans un mélange d’huile d’olive, de miel liquide, de thym et d’estragon. Mais incontestablement, la palme du sucré-salé revient aux fruits et légumes, qui l’escortent judicieusement. Parmi eux, la figue, la poire ou la pomme ont déjà fait leurs preuves. On peut donc, pour varier les plaisirs, se tourner vers des poivrons poêlés avec une touche de vinaigre balsamique et les servir avec des dés de Morbier dans des wraps. Quant aux carottes, mêlées avec des quartiers d’orange et du Morbier, l’accord mêle le sucré et le salé à l’acidulé. Au final, tous les accords sont à peu près probants mais la meilleure façon de créer le mariage parfait, c’est la sauce. Préparée avec un vinaigre de framboises, de cassis, d’abricots ou de tomates, elle sera le lien idéal entre deux ingrédients, du Morbier et une viande ou du Morbier et un légume.

…Inimitable !

• Croûte naturelle, lisse, d’un aspect régulier beige à orangé avec des nuances rose orangé
• Pâte souple et onctueuse, de couleur ivoire à jaune pâle avec ouverture discrète
• Raie noire bien soudée et continue sur toute la tranche
• Parfum franc et fruité, persistant
• Goût crémeux, fruité et subtil, saveurs de crème de vanille et de fruits

…légendaire !

Le Morbier est né au 18ème siècle, au cœur de la Franche-Comté, dans le village du même nom. Le « petit frère du Comté » était fabriqué en hiver lorsque la production de lait ne suffisait pas pour fabriquer les meules de Comté. Les fermiers ne pouvant livrer le lait chaque jour à la fruitière du village, ils eurent alors l’idée ingénieuse de fabriquer un fromage plus petit en additionnant le lait de la traite du matin à celui de la traite du soir. Ils faisaient cailler le lait du soir, le mettaient en moule, pour ensuite le recouvrir de cendre prise « au cul du chaudron », dans le but de le protéger. Le matin, ils recouvraient avec le lait caillé de la deuxième traite. C’est ainsi que le Morbier, avec sa ligne cendrée, est entré dans l’histoire des fromages de caractère !


Morbier - Un trait inimitable
Un trait de caractère du massif jurassien
www.fromage-morbier.com


© Syndicat Interprofessionnel du Morbier® | Crédits Photos : © Morbier® AOP par Divino Conseils
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