Samoussas aux sardines et à la coriandre
Proportions pour 20 Samoussas
Temps de Préparation 30 Minutes
Temps de Cuisson 8 à 10 Minutes
► 2 boîtes de sardines Arsène Saupiquet au piment et à l’huile de tournesol
► 200 g de pomme de terre type Agatha
► ½ bouquet de coriandre fraîche
► 10 feuilles de brick
► 40 g de beurre fondu
①• Pelez les pommes de terre, lavez-les et coupez-les en gros morceaux. Faîtes les cuire dans une casserole d’eau salée environ 30 mn.
②• Lorsque celles-ci sont cuites, versez-les dans un saladier et laissez les tiédir. Ajoutez les sardines et, à l’aide d’une fourchette, écrasez bien le tout. Ajoutez la coriandre fraîche ciselée. Remuez à nouveau afin d’obtenir une purée homogène.
③• Préchauffez le four à 200°C (Th.6-7).
④• Si vous avez des feuilles de bricks rondes, coupez celles-ci en deux. Vous obtenez ainsi 2 demi-feuilles. Repliez ces demi-feuilles en deux dans la longueur. Et vous obtenez ainsi une sorte de rectangle. Disposez la valeur d’une cuillère à soupe de la préparation à 4 ou 5 cm du bord de la feuille de brick. Puis rabattez la feuille de brick sur la farce de façon à obtenir un triangle. Roulez à nouveau celle-ci, pour obtenir à chaque fois un triangle, et ainsi de suite jusqu’au bout. Badigeonnez vos samoussas de beurre fondu, cela permettra de coller la dernière partie de la feuille de brick afin que le samoussa ne s’ouvre pas. Disposez les samoussas sur une plaque à pâtisserie recouverte de papier sulfurisé.
⑤• Enfournez pour environ 8 à 10 mn. Lorsque les samoussas ont pris une jolie couleur dorée, sortez-les du four.
Dégustez-les rapidement.
Suggestion : à déguster du bout des doigts pour un apéritif. Ou accompagnés d’une salade de mesclun pour une entrée ou un plat.
Idées : si vous rencontrez des difficultés dans le pliage des samoussas n’hésitez pas à regarder des vidéos sur internet où tout est expliqué en images !
Fort de 120 ans de savoir-faire, Saupiquet rend hommage à son créateur et lance une nouvelle marque de sardines « Arsène Saupiquet » en s’inspirant des recettes originelles.
La clé du succès des sardines Arsène Saupiquet ? Pêchées au meilleur de la saison dans l’océan Atlantique, elles sont emboîtées à la main, cuites, agrémentées d’huiles et d’ingrédients soigneusement sélectionnés. Les sardines se bonifient avec le temps afin de garantir tout le plaisir de sardines de grande qualité à la chair tendre et généreuse.
Déclinée en quatre recettes : à l’huile d’olive, à la tomate, à l’huile de tournesol et au piment, cette nouvelle gamme donne toutes ses lettres de noblesse à la sardine.
Que ce soit en tartines, en samoussas, en bouchées apéritives ou encore en rillettes marines, ce petit poisson aux flancs argentés ne se déguste pas que sur du pain avec du beurre demi-sel ! Même si pour les vrais amateurs c’est encore comme ça qu’elle est la meilleure !
Arsène Saupiquet nait le 25 février 1849 à Jussac, un petit village situé à 10km d’Aurillac, en Auvergne. Comme la plupart des villages de la vallée de l’Authre, Jussac est au cœur d’un fort mouvement migratoire allant vers la Bretagne. Des marchands chaudronniers ambulants, partent en effet vers l’ouest lors de campagnes qui durent dix-huit mois environ.
Lors du décès de son père, Arsène n’a que 10 ans. En tant que fils aîné, il démarre de ce fait sa vie professionnelle pour subvenir aux besoins de sa famille. Il débute ainsi sa carrière au sein des établissements Riom, spécialisé dans la production de fer-blanc. C’est à cette époque qu’il acquiert toute sa maitrise dans le milieu de la conserve. Grâce à son implication et sa soif de travail, Arsène est directement nommé à la tête de l’usine de Nantes fraîchement ouverte et emmène toute sa famille dans la bien nommée « Venise de l’ouest ».
La ville de Nantes est alors en pleine expansion et Arsène décide de se lancer dans un projet faramineux : rassembler assez de fonds pour regrouper plusieurs conserveries.
En 1891, le pari est réussi et la société anonyme des Établissements Arsène Saupiquet est née !
fourmille d’idées et met au point une technique qui va révolutionner le monde de la conserve : la boîte Jockey-Club. Avant tout, la Jockey-Club est une image d’Epinal qui représente une course de chevaux, véritable clin d’œil à la passion d’Arsène pour les courses hippiques.
Cette dernière adopte une forme encore jamais vue à l’époque, rectangulaire et s’ouvrant sur le côté grâce à une clé.
Arsène met alors en place une campagne de publicité, traduite en 4 langues, qui va lui permettre de s’ouvrir à l’international.
Né en 1849 en Auvergne, Arsène Saupiquet commence sa carrière chez le ferblantier Alfred Riom.
En 1877, il crée une conserverie spécialisée dans la sardine à Nantes.
En 1891, fin stratège, Arsène parvient à lever des fonds pour développer son activité et fonde la société Saupiquet.
À la fin du XIX e siècle, Saupiquet va connaître son essor avec l’invention, par Arsène Saupiquet lui-même, d’un système d’ouverture révolutionnaire à l’aide d’une clé : la boîte Jockey-Club. Clin d’œil à sa passion pour les courses hippiques.
Un système d’ouverture dont le mode d’emploi est traduit en 4 langues sur les affiches publicitaires qui permet à Saupiquet de se développer à l’international.
Rapidement, Arsène Saupiquet développe un savoir-faire reconnu autour de la sardine et les plus grands aristocrates de l’époque raffolent des produits Saupiquet.
Aujourd’hui, fière de son héritage, Saupiquet revisite la gamme Arsène Saupiquet en s’inspirant des recettes originelles.
Découvrez les Recettes Saupiquet Colorées et Gourmandes !
sur www.saupiquet.com
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