Patates douces rôties à l’agneau

© L'agneau. L'essayer, c'est l'adorer
Recette : © Annelyse Chardon – Créatrice de recettes et styliste culinaire
Crédit Photo : © Julie Mechali – Photographe

Proportions pour 4 Personnes Temps de Préparation 20 Minutes
 Temps de Cuisson 50 Minutes

 

En cuisine, il arrive souvent d’avoir des restes de nourriture dans les frigos ou les placards.
Un seul mot d’ordre : ne rien jeter ! Dites stop au gaspillage et donnez une seconde vie à vos restes.

► 400 g de tranches de gigot d’agneau sans os
► 4 patates douces moyennes
► 125 g de jeunes épinards
► 200 g de fromage blanc
► 2 cuil. à soupe de mayonnaise
► 1 citron
► 3 gousses d’ail
► 1 oignon
► 2 cuil. à soupe de ciboulette ciselée
► 1 cuil. à café de cumin
► 1 cuil. à soupe de paprika
► Huile d’olive
► Sel et poivre du moulin

①• Mélanger le fromage blanc avec la mayonnaise, la moitié du jus de citron, une gousse d’ail épluchée et écrasée et la ciboulette. Saler et poivrer et réserver au réfrigérateur.

②• Préchauffer le four à 210°C (Th.7). Laver les patates douces sans les éplucher. Les piquer à la pointe d’un couteau et les placer sur une plaque de cuisson. Les cuire au four pendant 40 minutes, jusqu’à ce qu’elles soient tendres.

③• Émincer finement les tranches de gigot d’agneau. Faire chauffer 1 cuil. à soupe d’huile dans une poêle et y faire revenir pendant 5 minutes à feu doux l’oignon et deux gousses d’ail épluchés et émincés. Augmenter le feu et ajouter l’agneau. Faire dorer à feu vif quelques minutes, puis ajouter les épinards, le cumin, le paprika, le jus de citron restant et du sel. Faire cuire en remuant quelques minutes, le temps que les épinards fondent.

④• À la sortie du four, fendre les patates douces en deux et répartir la préparation à l’agneau en leur cœur.

Servir avec la sauce blanche et une salade de pousses d’épinards.

Astuce Anti-gaspi : utilisez un reste d’agneau cuit pour réaliser cette recette.

ÉLEVAGE OVIN EN EUROPE ET TERRITOIRES

L’élevage ovin en Europe est en interaction directe avec son environnement : valorisation des territoires, participation au maintien de la biodiversité, maintien du tissu économique…
De véritables atouts naturels qui font des filières ovines une réponse adaptée aux enjeux de développement durable.

L’ÉLEVAGE OVIN : UNE RÉPONSE À LA VALORISATION DES TERRITOIRES.
L’élevage ovin, majoritairement basé sur un élevage à l’herbe dans des exploitations à taille humaine, occupe principalement des terres difficilement exploitables par d’autres activités humaines.
Il participe ainsi à la valorisation et au développement agronomique de ces territoires.

L’ÉLEVAGE OVIN, L’ENVIRONNEMENT ET LA BIODIVERSITÉ : UN PACTE GAGNANT – GAGNANT.
Dans les zones montagneuses, la production ovine contribue de manière significative à lentretien des paysages (débroussaillage…), on parlerait alors presque de « moutons jardiniers » ! Sans l’élevage, cet environnement se dégraderait.
En plaines, les zones herbagères ainsi entretenues concourent à la préservation de la qualité de l’eau en filtrant, tout en limitant l’érosion des sols. Elles permettent également de lutter contre le réchauffement climatique en stockant le carbone.
De ces espaces jamais labourés naît un écosystème qui participe à la préservation de la biodiversité animale, végétale et microbienne.

Parmi les bénéfices mesurables, on peut relever par exemple que :
•  l’exploitation de ces zones, qui conservent un milieu stable dans le temps, assure le maintien des espèces sensibles aux changements de pratiques.
•  les éléments agro-écologiques conservés tels que les bordures de parcelles, haies…sont des réservoirs naturels essentiels pour les plantes et insectes sensibles.
•  la diversité des espèces végétales (fleurs,herbes) est préservée.

L’ÉLEVAGE OVIN, C’EST AUSSI UNE SOURCE D’EMPLOIS ET DE VIE SOCIALE FORTE.
En valorisant des territoires dans des régions défavorisées, c’est toute une économie, une culture, des paysages et des traditions gastronomiques qui s’imposent naturellement et participent à l’attrait touristique de ces zones.
Sans oublier l’ensemble des emplois induits par ces filières : 1 emploi en élevage engendre 7 emplois dans le reste de la filière.

QUI SOMMES-NOUS ?

INTERBEV OVINS
Est l’interprofession (créée en 1985) représentant les différents acteurs du secteur économique de la filière ovine française, de l’élevage à la distribution.
Son rôle : défendre et valoriser les intérêts communs des divers métiers de cette filière.
207, rue de Bercy
75012 Paris

www.interbev.fr

AHDB
Est l’interprofession de la filière bétail et viande d’Angleterre.
AHDB est chargée du développement et de la valorisation des filières ovine et bovine anglaises et dispose d’un bureau en France.
13 bis, rue Paul Séramy
77300 Fontainebleau

www.ilovemeat.fr

BORD BIA
Est l’office de développement et de promotion des produits agroalimentaires, des boissons et de l’horticulture irlandais.
Son rôle : assurer le succès pérenne de cette industrie à travers son réseau international de bureaux.
33, rue de Miromesnil
75008 Paris

www.origingreen.ie/fr



www.jadorelagneau.fr


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Recette : © Annelyse Chardon – Créatrice de recettes et styliste culinaire
Crédit Photo : © Julie Mechali – Photographe
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