Bircher curcuma banane

Crédit Photo : © cojean

Proportions pour 4 Personnes Temps de Préparation 30 Minutes
 Temps de Cuisson 10 MinutesRéfrigération 1 Nuit

 

Le bircher est la star du petit-déjeuner !
Tendance, healthy et facile à adopter, Cojean, vous propose sa propre recette à base de flocons d’avoine, banane et curcuma pour un repas rapide et sain.

Cette préparation suisse a été popularisée au XIXème siècle par le Dr. Bircher et proposée à ses patients dans sa clinique de remise en forme. Le succès est immédiat ! Un siècle plus tard, l’envie de consommer « mieux » et « bien » souffle sur la France et le bircher revient alors à la mode.

► 150 g de flocons d’avoine
► 2 bananes moyennes
► 200 g d’eau
► 40 g de jus de citron vert
► 1 pomme granny
► 30 g de sirop d’érable
► 30 g de noisettes décortiquées
► 170 g de lait de coco
► 2 g de curcuma poudre
► 1 grenade

①• Éplucher et couper les bananes en rondelles.

②• Faire revenir dans une casserole avec 30 g d’eau et 30 g de jus de citron vert. Couvrir et faire cuire à feu doux.

③• Concasser les noisettes grossièrement. Laver la pomme et la râper. Ajouter le jus de citron restant.

④• Mélanger les flocons d’avoine, l’eau restante, le lait de coco, la pomme râpée et son jus de citron, le sirop d’érable, le curcuma, la purée de banane, les noisettes concassées.

⑤• Mettre au frais pendant une nuit.

Dresser dans des assiettes creuses et décorer de graines de grenade.
Servir frais.

COJEAN A 18 ANS. COJEAN EST MAJEUR, MAJEUR ET RESPONSABLE.

COJEAN : DÉJEUNER, C’EST DEVANCER
Dix-huit ans déjà. Dix-huit ans que cette chaine « vertueuse » de restauration rapide avance tout devant.
Malgré ses apparences si sages, ses auvents bleus « Cojean », les trente-six restaurants (dont trois à Londres, et depuis peu, rue du Bac, à Paris), Cojean s’est toujours retrouvé à devancer le genre, innover, créer. Être devant, c’est prendre les embruns. C’est aussi voir mieux que les autres, l’horizon est dégagé, il n’y a guère d’aventuriers.

TRACER
C’est presque une obsession chez Cojean. Suivre le produit sur toute la ligne.
Jouer le jeu des fruits certes, mais en acceptant les règles (mixés à la minute). Respecter l’environnement, certes, mais en allant jusqu’au bout… bénir le bio, d’accord, mais en ouvrant les frigos, les bons de commande, interroger chaque cageots, pour être dûment certifié (ecocert 2012). Café, fruits et légumes des jus et des soupes, céréales et la plupart de nos légumineuses sont tous 100% bio (initié depuis 2009).
Le poulet est français sans OGM (2011), les poissons issus de la pêche durable (2013), les œufs de plein air (2015), les plats chauds végétaliens (2017). Et depuis 2019, eurêka, la menthe est enfin bio !
À noter : 52% des recettes sont à présent végétariennes.

SOURIRE
On se souvient qu’au tout début, se rendre chez Cojean, était un enchantement. L’accueil était juvénile, estudiantin avec un seul trait sur le visage : la banane.
C’était un genre, c’est devenu un style. Chez Cojean, le sourire est toujours là, sans doute parce que 100% des directeurs de restaurants sont promus en interne. Ajoutez à cela 98% des employés en CDI et vous comprendrez la fluidité sereine des adresses. Sans doute aussi parce que l’on s’y sent bien, sans doute enfin parce qu’on prend la vie telle qu’elle est : souriante toujours, mais parfois moins favorable pour les jeunes en situation de handicaps (mental ou cognitif). Cojean intègre ces derniers (depuis 2016), tout comme plus de cinquante nationalités différentes.

REDISTRIBUER
Paradoxe du commerce, il faut souvent faire signe d’abondance, mais en revanche ne pas jeter à tour de bras. Et si c’est le cas, le faire en intelligence avec les associations (la Chorba, les Restos du Coeur, Emmaüs, Tibériades, Armée du Salut, Aurore…). Tous les soirs, 100% des invendus sont redistribués, via une entreprise sociale (linkee, à vélo) soit plus de 1 200 000 produits depuis 2010.

TRIER
Lorsque l’on s’embarque dans un mouvement vertueux, on entre alors dans une logique implacable : faire bien, non, faire mieux, oui.
Dès décembre 2019, tous les restaurants respectent le nouveau décret tri 5 flux (Cojean première marque de restauration rapide à satisfaire à 100% ces exigences) : une société effectue le tri manuel ( ! ) du carton-papier, plastique, verre, métal et bois. L’idée restant d’accomplir le cercle vertueux, adhérer au rPET (recyclage du polyéthylène téréphtalate) avec les pots à desserts, pots à salade, verres à jus. C’est aussi équilibrer la proportion de carton et de plastique, améliorer les scores : à date, 50% des emballages Cojean sont en carton, 46% en plastique et 4% en verre.
La prochaine étape initiée depuis 2010, c’est développer le réutilisable (porcelaine) et suggérer l’usage de son propre mug, set à couverts, sac en coton…
Les cibles restent : jeter le minimum, viser la neutralité plastique en équilibre du carton, ne jamais choisir la radicalité mais un juste milieu… la vie en somme.

LA CERTIFICATION B CORP
Ce label n’est pas encore très connu, mais lorsque l’on se bat pour le décrocher, il y a de quoi en être fier. Depuis juin 2019, Cojean est certifié B corp, une première pour une entreprise de restauration rapide en France.
En deux mots, cela signifie que le label récompense les efforts notoires sur cinq domaines d’impact : gouvernance, collaborateurs, communautés, environnement et clients.
Ainsi, manger aujourd’hui (faire à manger) appartient à un véritable humanisme fonctionnant à la capillarité. Lorsque l’on fait du bien aux autres, lorsque l’on choisit bien ses carottes, il y a au terme de ce mouvement, une totale cohérence poursuivant son chemin : de la digestion, au bien-être en passant par la protection de la planète.



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