Gigolettes de lapin au barbecue, parfumées au thym et au citron et salsa de tomates

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Proportions pour 4 Personnes Temps de Préparation 20 Minutes
 Marinade 1 Heure Temps de Cuisson 10 Minutes

 

Pour étonner ses invités avec des barbecues qui sortent des sentiers battus,
on pourra donc tester cette délicieuse recette.

 

► 4 gigolettes de lapin
► Le jus d’un citron jaune
► 6 branches de thym frais
► 4 tomates de taille moyenne
► 1 demi oignon rouge pelé et ciselé
► Quelques gouttes de Tabasco
► 1 cuil. à soupe de jus de citron vert
► 2 branches de coriandre
► Huile d’olive
► Sel et poivre du moulin

①• Mettre les gigolettes dans un plat creux, ajoutez le thym frais, quelques pincées de sel, le jus de citron et 2 cuillères à soupe d’huile d’olive. Mélanger bien, couvrez et laissez mariner à température ambiante pendant 1 heure.

②• Préparer la salsa de tomates. Peler les tomates en les plongeant 30 secondes dans de l’eau bouillante afin de retirer facilement la peau. Couper la chair en petits dés après avoir retiré les graines. Ajouter un peu de sel, l’oignon rouge ciselé, 1 cuillère à soupe d’huile d’olive,  le jus de citron vert, du poivre du moulin et quelques gouttes de Tabasco. Couvrir et réserver au frais.

③• Faire chauffer le barbecue. Ciseler la coriandre et ajoutez-la dans la salsa. Faire griller les gigolettes pendant 20 minutes.

Servir avec la salsa.

15 minutes chrono pour cuisiner du lapin, c’est possible !

Si 80 % des Français déclarent manger du lapin, de nombreux consommateurs semblent encore penser qu’il reste long et difficile à cuisiner. Pourtant, avec sa gamme de viande en morceaux ou désossée, force est de constater que le lapin est une alternative résolument moderne pour cuisiner facilement de bons petits plats, pour le plaisir des petits et des grands. Cette viande raffinée, festive et saine s’invite donc sur toutes les tables en sauteuse, cocotte, au four ou à la poêle, pour surprendre et partager un vrai moment de convivialité.

Et 15 minutes chrono à la poêle, oui c’est possible !

Entre tradition et modernité
Le célèbre lapin à la moutarde fait toujours partie des plats préférés des français, mais  avec ses présentations en morceaux ou en filets, le lapin trouve désormais naturellement sa  place dans la cuisine moderne et ses atouts ne cessent de séduire les consommateurs : une saveur  unique et raffinée pour une viande maigre et saine. Mais aussi des cuissons rapides associées à  des recettes simples et originales, et c’est peut-être bien là qu’on ne l’attendait pas !

Morceaux choisis et recettes gourmandes
Parfaitement en phase avec les attentes des consommateurs en quête de produits sains et simples à cuisiner, pour sortir du quotidien, les professionnels de la filière proposent donc du lapin en morceaux, voire désossé. On les trouve dans tous les rayons des magasins de grande surface ou chez le boucher-volailler. A cuisiner à la poêle, en cocotte, au wok, en pierrade, en papillote et même avec les nouveaux robots de cuisine, le lapin revisite singulièrement la tradition, pour un plaisir simplissime et express.

Afin de s’y retrouver dans les morceaux de lapin, voici un petit glossaire et des idées  recettes pour trouver le morceau idéal et se faire plaisir.

La cuisse : légère et savoureuse, la cuisse est un morceau maigre et très charnu, un morceau de choix. À cuisiner : au four, à la cocotte, en papillote, à la vapeur avec des légumes et servie avec un aïoli, sautée vivement ou confite.
L’épaule : ce morceau désigne la partie antérieure du lapin, ou patte avant, sans les côtes.  Sa chair est particulièrement moelleuse. C'est le morceau préféré des gourmets. À cuisiner : en papillote, au barbecue ou au four, en cocotte ou à la sauteuse en fricassée.
La gigolette : elle est composée de l'épaule et des côtes totalement désossées qui lui sont rattachées. C’est un morceau particulièrement moelleux et goûteux, un peu plus charnu puisque partiellement désossé. À cuisiner : c’est le morceau qui se prête le mieux à toutes les marinades des plus classiques aux plus exotiques avant d’être grillé au four ou au barbecue.
Le filet, l’escalope et les émincés : les filets sont ‘levés’ à partir du râble en séparant la viande de l’os central. Le filet ouvert en portefeuille devient une escalope. Coupé en dés, il devient des émincés. C’est un morceau particulièrement tendre, parfait pour faire découvrir aux enfants la viande de lapin.
Le râble : ce morceau s'étend du bas des côtes à l'attache des cuisses. Il est essentiellement composé des 2 filets situés de part et d'autre de la colonne vertébrale. C’est le dos du lapin.  Sa chair charnue en fait un morceau savoureux et raffiné, véritable luxe pour les papilles. On le trouve entier ou en morceaux, tranché ou tranché fin pour toutes les envies et les modes de préparation.

Une filière responsable engagée dans une démarche active de progrès.
Performance des élevages, santé et bien-être des animaux sont les objectifs clairement visés par la filière cunicole française avec la démarche de progrès "Le Lapin s’engage". La filière travaille sur l’évolution des pratiques en élevage, la démédication, la nutrition, la qualité et la sécurité alimentaire. Avec cette démarche de progrès, c’est  toute une filière qui s’engage pour proposer aux  consommateurs une viande française de très grande qualité.

À propos du CLIPP (Comité Lapin Interprofessionnel pour la Promotion des Produits)
1989-1998 : une démarche volontaire
Le CLIPP a été créé en 1989, sous forme d’association, par des membres de la filière soucieux de la qualité de leur produit et souhaitant s’engager dans une action commune pour la promotion de la cuniculture et de la marque générique " Lapin de France ".
Le CLIPP aujourd’hui, une interprofession
Conscientes de la nécessité croissante de promouvoir le produit, les organisations professionnelles de la filière ont souhaité renforcer leur action et se doter de plus amples moyens financiers. Dans cette optique, le 25 novembre 1998, le CLIPP a procédé, au cours d’une assemblée générale extraordinaire, à la modification de ses statuts pour répondre aux exigences législatives des interprofessions. Le CLIPP a été reconnu comme interprofession par les pouvoirs publics, par l’arrêté du 28 septembre 1999.

Le CLIPP est composé de 4 collèges, représentant les différents acteurs intervenant dans la production :
►  les sélectionneurs et les fournisseurs d’équipement : SYSELAF (Syndicat des Sélectionneurs de Lapins Français) et ANFEC (Association Nationale des Fournisseurs d’Equipements Cunicoles)
►  les producteurs : FENALAP (Fédération Nationale des groupements de producteurs de Lapins), CFA (Confédération Française de l’Aviculture) et Confédération Paysanne
►  les fabricants d’aliments : SNIA (Syndicat National des Industriels de la Nutrition Animale) et COOP de France Nutrition Animale.
►  les abatteurs et transformateurs : FIA (Fédération des Industries Avicoles) et CNADEV (Comité National des Abattoirs et ateliers de découpe de volailles-lapins et chevreaux).

Ses missions sont :
►  d’une part, trouver des solutions afin de faire face aux difficultés rencontrées dans un contexte économique et sanitaire fragile.
►  poursuivre, d’autre part, les actions de fond engagées les années précédentes pour défendre et valoriser la production et la filière, notamment :

• informer le consommateur
• réaliser des actions de promotion des produits
• contribuer à l’amélioration constante de la production de la filière et du produit
• suivre et améliorer l’organisation du marché

© Lapin de France | Crédits Photos : © CLIPP | Tous droits de reproduction réservés

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